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Le citoyen dans le projet urbain

Le citoyen dans le projet urbain

Le citoyen dans le projet urbain : Nantes, figure d’exemple – Lucas Jarry

Avril 2016

« Le mémoire s’intéresse à la place du citoyen dans les projets urbains. Après une première partie consacrée à l’étude de cette pratique intégrant l’idée d’une conception partagée, basée sur un partage réciproques et un « co-apprentissage » entre décideurs et habitants, le mémoire analyse le cas de la ville de Nantes et son approche particulière des grands projets participatifs. La parole citoyenne qui s’élève est-elle réellement écoutée ou s’agit-il d’un immense outil de campagne électorale sans finalité ? La dernière partie interroge la place du concepteur dans ces nouveaux processus de fabrication urbaine. Comment intégrer les professions de conception dans le jeu de la participation ? Comment adapter son activité à ces nouveaux enjeux de gouvernance urbaine ? »

Vous pouvez lire le texte intégralement via ce lien.

Le citoyen dans le projet urbain

La loi ALUR et ses conséquences pour les lotissements existants

La Loi ALUR et ses conséquences pour les lotissements existants – Nelson Jacques

2016
La loi ALUR (Accès à un Logement et un Urbanisme Rénové) du 24/03/2014 modifie la règlementation française concernant les lotissements. Elle apporte les nouveaux éléments concernant les cahiers des charges et le règlement des lotissements, ainsi que sur modalités administratives des divisions que sont la déclaration préalable et le permis d’aménager. Les principes de caducité et de majorité sont revus dans les nouvelles rédactions. L’objectif du législateur est de faciliter certaines modalités administratives et de supprimer les obstacles à la densification. La nouvelle législation présente cependant des parties susceptibles de générer des incertitudes pour le géomètre-expert ou le professionnel de l’immobilier, qui doivent conseiller leurs clients. L’étude propose donc des outils schématiques pour éclairer le cabinet de Géomètres-Experts.

Consultez le mémoire de Nelson Jacques ICI !

Le citoyen dans le projet urbain

Le genre vernaculaire ou la nostalgie de la tradition, à propos d’Ivan Illich

Le genre vernaculaire ou la nostalgie de la tradition, à propos d’Ivan Illich – Sylvie Kwaschin

1991

« Le Genre Vernaculaire [d’Ivan Illich] retrace le passage des économies de subsistance à une économie de marché ou comme passage d’une monde « genrée » à un monde « hors-genre » sexiste. »

Sylvie Kwaschin propose ici une critique de ce texte : « La première réflexion à laquelle je fus conviée à propos du Genre vernaculaire d’Ivan Illich concernait les liens entre sa critique du modèle industriel de développement des sociétés modernes et son évaluation des revendications et réflexions du «mouvement féministe». […] je pense que le texte d’Illich hésite entre philosophie politique et ontologie, entre évaluation (qui ne peut éviter le jugement en terme de «souhaitable» et non de «vérité») d’un mode d’organisation social de la production et des rapports entre les gens et définition «en vérité» des catégories du masculin et du féminin. Quelle position adopter par rapport à ce pôle ontologique lorsqu’on n’y adhère pas et que l’on ne veut pas déplacer la discussion vers cet implicite du texte? ».

Le citoyen dans le projet urbain

Métropole malléable et adaptable : vers un urbanisme temporaire et temporel

Métropole malléable et adaptable : vers un urbanisme temporaire et temporel – Luc Gwiazdzinski

2014

Luc Gwiazdzinski est géographe, directeur du Master Innovation et Territoire à l’IGA (Université Grenoble Alpes), professeur associé à la Shanghai University, et président fondateur du pôle de recherche et d’expérimentation sur les arts urbains (Polau).

La planification urbaine, sous l’impulsion du modernisme, a longtemps été envisagée sous le seul angle de l’espace, les politiques temporelles restant le parent pauvre des politiques publiques. Les mutations en cours de nos rapports à l’espace-temps plaident aujourd’hui pourtant pour un renversement de ces valeurs. Luc Gwiazdzinski nous explique les raisons pour lesquelles il théorise un plus grand recours aux leviers temporels face aux enjeux du développement urbain durable, insistant sur les notions d’urbanisme temporaire et temporel, tout en promouvant une métropole malléable et adaptable.

Extrait d’un article publié sur PCA-Stream. Retrouvez l’article complet ici !

Le citoyen dans le projet urbain

Produire le logement social

Produire le logement social – Matthieu Gimat

Novembre 2017

« Depuis le début des années 2000, le coût des terrains nécessaires à la production de logements locatifs sociaux neufs a augmenté, au même titre que le coût de leur construction. Dans le même temps, l’État a considérablement réduit les subventions directes qu’il accorde à chaque opération HLM. Malgré cela, le nombre de logements locatifs sociaux livrés chaque année a connu une hausse importante et durable. Alors que 46 000 logements HLM ont été produits en 2000, plus de 100 000 le sont systématiquement à partir de 2006.

La thèse explore cet apparent paradoxe, en analysant les évolutions de l’organisation institutionnelle du système de production HLM. Pour ce faire, elle s’appuie sur le traitement de données statistiques ainsi que sur une enquête réalisée auprès d’acteurs locaux de l’habitat au sein des communautés d’agglomération du Val-de-Bièvre, du Boulonnais et de la communauté urbaine de Bordeaux. Un outillage théorique spécifique est proposé, qui croise les apports de la théorie de la régulation et de recherches sur les acteurs de la production urbaine. Cela permet de montrer qu’un ensemble de décisions politiques, d’ajustements locaux et de dispositifs de coordination ont été articulés de façon originale au cours de la décennie. Ils visent notamment à faire en sorte que les organismes HLM mobilisent leurs réserves financières dans la production neuve, à distribuer inégalement dans l’espace le surplus de logements produits et à réorganiser les modalités d’accès à la ressource foncière. Le système mis en place est cependant dépendant des opérateurs à but lucratif ainsi que des évolutions des marchés immobiliers ; il participe de plus à redéfinir les bénéficiaires de l’intervention publique en France. »

Pour lire un résumé de la thèse de Matthieu Gimat, c’est par ici.

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contact@lapreuvepar7.fr 

27, passage Courtois, Paris 11ème

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