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Les formes d’habitat participatif en France

Les formes d’habitat participatif en France

Les formes d’habitat participatif en France – Ôfildesvoisins & Coopérative Oasis

2020

L’habitat participatif est une réponse collaborative à la question de l’habiter. Elle soulève des enjeux de société tels que celui du lien social, du bien vieillir, des pratiques éco-responsables et de préservation de l’environnement, de logement abordable… Chercher un terrain à vendre, concevoir un logement qui correspond aux besoins et aux principes de vie de tous, puis gérer et entretenir l’habitat au quotidien, implique des organisations collectives spécifiques. Sous quels cadres juridiques plusieurs personnes peuvent-elles se regrouper pour réfléchir à un projet immobilier en commun ? Cet article recense les statuts juridiques permettant le montage et la gestion d’un habitat participatif. Il décrit chaque statut en soulevant ses avantages et inconvénients à mettre en balance en fonction du montage opérationnel choisi.

Découvrez l’article sur Ôfildesvoisins

 

Une base de données inventorie les projets d’Oasis et d’habitat participatif en France et en Belgique. Créée par et en concertation avec l’ensemble des acteurs de la thématique, elle permet un recensement exhaustif d’une part, et implique une mise à jour des données sur plusieurs supports, d’autre part. Cette base de données est aujourd’hui portée par la Coopérative Oasis et Habitat Participatif France.
L’outil qui a été développé permet de collecter et restituer l’information sur les sites internet de tous les partenaires sous forme de cartes paramétrables (via un système d’iframe). On y trouve notamment le statut juridique de chaque projet.

Carte à consulter sur leur site

Les formes d’habitat participatif en France

Laboratoire du Dehors

Le Laboratoire du Dehors – Liliana Motta

Depuis 2009

« La nature en ville implique de nouveaux réflexes à l’égard du vivant et une conscience renouvelée de son utilité. C’est pourquoi, Liliana Motta crée en 2009 une recherche-action nommée le «Laboratoire du dehors». Elle reçoit depuis sa création le soutien du Ministère de l’Écologie pour l’élaboration et la réalisation de ce projet. L’objet du «Laboratoire du dehors» est d’apporter un regard transversal à la fois esthétique, culturel et scientifique sur notre patrimoine végétal, sauvage et cultivé et sur les relations qu’il compose avec nos sociétés et notre histoire. Son rôle est de favoriser les échanges entre les scientifiques de la recherche en écologie et les acteurs publics et usagers de la nature en ville. Il est aussi de sensibiliser le public, y compris les professionnels du paysage, à l’entretien différencié et au principe du développement durable. Enfin, cette recherche-action a pour but de faire rentrer le jardin écologique dans l’art des jardins. »

Liliana Motta est une artiste-botaniste qui travaille à la réhabilitation des plantes étrangères et leur adaptation à de nouveaux milieux. Elle exerce en tant que professionnelle, entre autres aux côtés de Patrick Bouchain depuis les années 2000. Elle prône l’expérimentation in situ et la réversibilité de ses interventions : faire confiance à l’improvisation pour composer avec l’existant et s’appuyer sur les relations entre les êtres vivants.

Retrouvez le dossier de présentation des projets menés par le Laboratoire du Dehors.

Et pour suivre toute leur actualité, c’est par ici !

Les formes d’habitat participatif en France

Expérimenter, c’est permis ?

Expérimenter c’est permis ? Mélanie Bouissière

2019

« Les multiples crises sociales, économiques et environnementales, menant à l’épuisement des ressources conduisent certains des architectes à repenser leur approche de l’acte de bâtir. En effet, le monde de la construction a été modelé par des événements historiques marquants. Notamment, la seconde guerre mondiale et l’avènement de l’ère industrielle ont entraîné une perte des savoir-faire par la disparition d’une grande partie des artisans. Le rétablissement des villes s’est alors opéré en utilisant le béton à outrance comme vecteur de reconstruction. Le monde du bâtiment, industrialisé, génère une production incommensurable de déchets et son impact sur l’environnement est considérable. Face à la crise écologique et aux récentes théories sur les risques d’effondrement de la civilisation industrielle, je prends conscience dès le début de mes études et à travers mes différentes expériences professionnelles, qu’en tant qu’architecte, nous pouvons nous engager dans la transition écologique. Il est à notre portée de devenir des acteurs actifs dans le changement de paradigme de la construction. »

Au travers de son mémoire, Mélanie Bouissière, s’interroge sur la manière dont l’expérimentation peut se développer dans le cadre de la maitrise d’œuvre. Agrémenté de nombreux exemples et de son travail aux côtés d’Encore Heureux, ce mémoire nous présente plusieurs formes d’expérimentations et les divers débats qui traversent cette notion.

Retrouvez l’intégralité du mémoire en téléchargeant son PDF !

Les formes d’habitat participatif en France

Entretien avec la permanente du quartier de Groues d’Orléans

Entretien avec la permanente du quartier des Groues à Orléans – Bondy Blog

Janvier 2020

Clémentine Riera est architecte pour La preuve par 7. Le Bondy Blog Centre est parti à sa rencontre le 16 janvier dernier dans la maison rouge qu’elle occupe au sein du quartier des Groues à Orléans. Elle nous a parlé du renouveau architectural porté par la nouvelle génération qu’elle incarne. Elle nous a parlé de participation et d’actions collectives, d’environnement, écologie du « déjà là », ville du futur et pédagogie active… Elle était accompagnée de Angèle Lemoult, animatrice vie citoyenne à la ville d’Orléans et Dominique Raveneau, professeur d’histoire-géographie au collège Pelletier d’Orléans.

Retrouvez son entretien ICI !

 

Les formes d’habitat participatif en France

Séminaire, Accueillir en Ville

Séminaire, Accueillir en ville – Cause Commune

15 janvier 2020

Au cours de ce séminaire, l’association Aurore, Plateau urbain et l’agence Intercalaire discutent de la capacité d’accueil et d’hospitalité des lieux tiers et hybrides émergents en ville.

La mise à l’abri est une compétence de l’Etat en France qu’il faut défendre. Cependant, la vision selon laquelle personne ne doit être laissé à la rue n’est pas encore une réalité. À l’heure où les métropoles sont plutôt synonymes de rejet que d’accueil, à l’heure où les espaces publics multiplient les dispositifs de rejet, à l’heure où des discriminations de toutes sortes entravent l’accès à des locaux d’habitat ou de travail, à quel niveau d’hospitalité se situent ces lieux tiers et hybrides émergents ? Comment faire hospitalité en ville ?

Ces lieux, fantasmés comme étant accueillants, supposent différents objectifs, manières, objets d’accueil. L’hospitalité ne relève pas seulement d’un lieu, cela relève des humains portant l’envie de le partager. Dans ce séminaire, il est question d’inconditionnalité de l’accueil, du rapport aux politiques publiques, de confiance en l’autre, du temps cours au bénéfice d’une vision à long terme, des normes contraignantes d’un lieu pérenne contre celles du temporaire, de la place de l’imprévu au service de la vie en commun, de programmation ouverte, de dit « lien social »…

par Cause commune | Plateau Urbain, association Aurore, Agence Intercalaire

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LA PREUVE PAR 7

contact@lapreuvepar7.fr 

27, passage Courtois, Paris 11ème

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