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Plateformes en ligne – POPSU, PUCA et Ateliers des Territoires

POPSU, plateforme d’observation des projets et stratégies urbaines, se veut un lieu de convergence des milieux de la recherche et de ceux qui font et gouvernent les villes, POPSU croise les savoirs scientifiques et l’expertise opérationnelle pour mieux comprendre les enjeux et les évolutions associés aux villes et aux territoires. Elle capitalise, à des fins d’action, les connaissances établies sur les métropoles et en assure la diffusion auprès de publics divers : professionnels, académiques, grand public…

Vous pouvez consultez le site de POPSU et ses projets à ce lien !

Le PUCA, Plan Urbanisme Construction Architecture, PUCA, est un organisme interministériel de recherche et d’expérimentation placé sous la tutelle des ministères de la Transition écologique et solidaire, de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, de la Culture et de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Depuis sa création par arrêté du 23 avril 1998, le PUCA développe des programmes de recherche incitative, des actions d’expérimentations et apporte son soutien à l’innovation et à la valorisation scientifique et technique dans les domaines de l’aménagement des territoires, de l’habitat, de la construction et de la conception architecturale et urbaine. Le Plan Urbanisme Construction Architecture, PUCA, est un organisme interministériel de recherche et d’expérimentation placé sous la tutelle des ministères de la Transition écologique et solidaire, de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, de la Culture et de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.

Pour vous rendre sur le site du PUC cliquez ici !

Pour consulter le centre de ressource du PUCA rendez vous ici !

L’Atelier des Territoires est un dispositif de pilotage et d’animation du débat politique et opérationnel pour faire émerger une stratégie de territoire et engager les acteurs locaux dans un processus de projet. Cette démarche place les services de l’État dans une posture de conseil auprès des collectivités. Au sein de la Direction générale de l’aménagement, du logement et de la nature (DGALN) et de la La Direction de l’Habitat de l’Urbanisme et des Paysages (DHUP), le bureau des Stratégies territoriales (AD1) anime et pilote des missions relatives à la ville et aux territoires durables dans une approche « grands territoires ». Il développe et propose des méthodes favorisant l’émergence de projets de territoire intégrant les dimensions spatiales et temporelles, d’organisation et des usages, des dynamiques socio-économiques, et combinant les différentes logiques d’acteurs. Il intervient à l’échelle stratégique du projet de territoire pour tenter de mettre en perspective les approches sectorielles (politique par politique), compléter les outils de l’aménagement (de planification, du projet opérationnel) et interpréter et faire accepter au mieux les règles de l’urbanisme. Autrement dit, il accompagne les territoires à l’échelle stratégique du grand territoire, en amont du projet opérationnel. Il s’agit de faire en sorte que les politiques publiques ne soient pas un ensemble de règles qui juxtaposées s’imposent aux acteurs locaux.

Rendez vous sur le site de l’Atelier des Territoires ici !

Pour accéder aux ressources et aux productions de l’Atelier des Territoires cliquez ici !

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Meet-up, l’urbanisme temporaire

Meet-up, l’urbanisme temporaire – Plateau Urbain et le Pavillon de l’Arsenal

Novembre 2016

« L’urbanisme temporaire s’affirme aujourd’hui comme une solution pour tirer profit des temps de vacance des projets urbains. Cette pratique permet d’intégrer les citadins dans la période de transition urbaine, de prendre en compte de nouveaux usages, générant ainsi des pratiques inédites. Davantage que de simples parenthèses suspendues à la réalisation du projet définitif, ces interstices peuvent devenir des supports d’action et de réflexion salutaires pour expérimenter de nouvelles manières de faire la ville.

Comment généraliser la mise à disposition des bâtiments vacants et des espaces urbains en friche? Quels outils donner aux acteurs publics et privés pour mettre en place ces pratiques? Si les opportunités liées à l’urbanisme temporaire sont nombreuses, comment généraliser son appropriation par les citadins tout en prenant en compte les contraintes des propriétaires?

Initié par la mairie de Paris et organisé par Plateau Urbain et le Pavillon de l’Arsenal, le Meet-Up du 24 novembre sera l’occasion de présenter différents retours d’expérience, avant de permettre aux opérateurs de l’urbanisme temporaire d’exposer leurs projets aux acteurs de l’immobilier, afin de développer la pratique et de donner lieu à de nouvelles actions. »

Retrouver un compte rendu de cette rencontre à ce lien !

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Tout est paysage, une architecture habitée

Tout est paysage, une architecture habitée – Simone et Lucien Kroll

2015

En 2015, à la Cité du Patrimoine et de l’Architecture, Simone et Lucien Kroll ont présenté leur exposition « Tout est paysage, une architecture habitée ».

« L’architecture n’est pas un « spectacle » mais une des composantes de notre monde, comme le sont les phénomènes naturels. L’architecture n’est pas une marchandise, un narcissisme personnel ou collectif. Elle est un lien empathique entre les humains. Entre tout et n’importe quoi, tout est imbriqué : c’est la complexité. Cette attitude qui mêle étroitement scientifique et humanisme.
« Faire participer » n’est pas un argument de vente ni une simple politesse envers les habitants. C’est les considérer comme éléments indispensables à atteindre cette complexité. Aux trois qualités décrites par l’architecte Vitruve dans son De architectura : firmitas, utilitas, et venustas (pérenne, utile et belle), il faut ajouter humanitas.
Les projets exposés ici sont à regarder comme des parcelles de cet univers complexe et non comme un geste esthétique et isolé d’un architecte. » Lucien Kroll

Consultez le dossier de l’exposition ICI !

L’état du mal logement en France 2020

L’état du mal logement en France 2020

L’état du mal logement en France 2020 – Fondation Abbé Pierre

2020

Dans un contexte social tendu, le 25ème rapport sur « l’État du mal-logement en France » de la Fondation Abbé Pierre alerte l’opinion publique sur la multiplication des atteintes au droit au logement et à l’hébergement d’urgence. Cette année, la Fondation Abbé Pierre réalise un focus sur le fait d’être « seul face au mal-logement », une réalité qui est régulièrement rencontrée à la Fondation des Petits Frères des Pauvres et notamment par l’équipe de la gestion locative. Une partie du rapport est consacrée aux nouvelles formes d’habitat partagé : habitat participatif, inclusif, colocation, pensions de famille…

« C’est tout l’environnement du logement qu’il faut interroger, mais aussi les rapports entre résidents pour une adaptation aux aspirations des ménages unipersonnels  qui  souhaiteraient  éviter  de  rester  isolés dans un logement. Afin de  sortir de la standardisation  des  façons  d’habiter,  deux  logiques  sont alors mises en œuvre. Dès la conception d’un ensemble immobilier, on peut chercher à faciliter la coexistence et à faciliter les rencontres, à ménager des espaces de convivialité, à proposer des services adaptés (chambres d’amis, espaces de réception, buanderie commune…). Une seconde logique consiste à proposer des modes d’occupation différents  des  logements  «  ordinaires  »  (colocations,  présence d’un tiers, moments institués de vie collective, etc.).

On trouvera ici des « arrangements » concernant les  typologies  proposées  dans  le  parc  social  pour  recevoir  ses  enfants,  là  il  s’agira  de  proposer  des  logements meublés avec des baux spécifiques pour des actifs en mobilité ou en double résidence, des solutions pour les saisonniers…

Soliha Landes mobilise, avec Nomad, plateforme de l’emploi saisonnier, les chambres de l’internat d’un lycée à des loyers maîtrisés pour les saisonniers du Pays Landes Nature Côte d’Argent. Pour  les  personnes  ayant  connu  des  parcours  d’une grande précarité et vivant sans enfants, les pensions  de  famille  proposent  des  solutions  de  vrais  logements  pérennes  individuels,  associés  à  des espaces collectifs.

Dans cette même logique, se développent pour les personnes âgées ou en situation de handicap des solutions d’« habitat inclusif » entre le placement en établissements et le maintien à domicile. L’habitat inclusif consiste en un mode d’habitation regroupée (meublée ou non) et assortie d’un projet de vie sociale, partagée entre plusieurs personnes (interventions d’animateurs, accompagnement  individualisé  par  les  services  sociaux et médico-sociaux…). Par exemple, Val de Cher Services, association créée en 1971, propose un habitat inclusif pour seniors à Vallon-en-Sully dans  l’Allier.  Le  principe  est  de  mettre  à  disposition sept logements adaptés aux personnes âgées dépendantes avec des espaces de vie communs, un espace santé et d’autres services partagés. »

Retrouvez le rapport entier via ce lien !

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Une nouvelle époque de l’action culturelle

Une nouvelle époque de l’action culturelle – Fabrice Lextrait avec le concours de Marie Van Hamme et de Gwenaelle Groussard

Mai 2001

« L’étude réalisée, à la demande du secrétariat d’Etat au Patrimoine et à la Décentralisation culturelle, sur “ces projets qui posent de manière originale et singulière les conditions de production et donc de réception de l’acte artistique”, a été menée du mois d’octobre 2000 au mois d’avril 2001. Le champ que nous tenterons d’aborder dans cette étude n’est pas, par nature, délimité à un secteur, à un territoire, à une discipline, à un genre et nous avons souhaité privilégier une démarche pragmatique qui combinait plusieurs approches.

Tout d’abord, il nous a semblé indispensable de mettre en place un dispositif de collecte d’informations qui permettrait d’esquisser, sur la base d’un travail empirique, une cartographie du réel. Cette approche descriptive doit permettre d’éclairer un territoire particulier et de tenter de comprendre des processus complexes que l’on ne connaît souvent que superficiellement.

En enquêtant dans 11 régions différentes , nous avons pu rencontrer plus de 150 personnes impliquées à différents titres dans ces expériences, qu’elles soient opérateurs, artistes, personnels administratifs et dans une moindre mesure élus. Les quinze monographies et les seize fiches d’expériences présentées dans ce rapport (volume 1) sont les productions éditoriales de ce “tour de France”. Ensuite, nous avons considéré que les problématiques soulevées par ces expériences nécessitaient une approche contradictoire, qui plus est collective. C’est pour cela que nous avons mis en place un groupe d’appui constitué de 15 personnes issues d’horizons très divers. Le contenu des échanges de ce groupe qui s’est réuni à trois reprises a fait l’objet d’une transcription intégrale (volume 3). Enfin, pour appréhender les contours d’une possible politique publique dans ce champ, nous avons rencontré au sein du ministère de la Culture, mais également au sein de nombreux autres ministères, les techniciens en charge de ces dossiers. Ce travail inter-directionnel et inter-ministériel nous a permis d’interroger les positionnements actuels et les potentialités d’investissements complémentaires de chacun

L’objet de ce travail est de pouvoir appréhender les fondements communs et les déterminants artistiques, économiques, sociaux, urbains et politiques de ces expériences afin de définir “une approche qui permette que le ministère de la Culture les repère, les écoute, les accompagne, sans les institutionnaliser, ni les enfermer dans une catégorie ou un label”. Les précautions nécessaires à l’investigation d’un tel sujet sont nombreuses, car la première difficulté est celle de la définition “conceptuelle” du champ d’investigation. Les expériences dont il sera question ne sont pourtant pas mystérieuses; elles s’offrent au contraire très naturellement, à l’observation, au commentaire, à la critique. Elles sont toutes porteuses d’une réalité qui fait sens et qui peut, contrairement à bien d’autres phénomènes culturels, être analysée concrètement. En fait l’“illisibilité” de ces expériences, souvent évoquée par les interlocuteurs institutionnels, est sans doute à l’origine de la difficulté que l’on a, aujourd’hui encore, à les situer dans un pays culturel identifié, dont les paysagistes sont pour une part les intervenants de l’économie industrielle, et pour une autre part les personnels des ministères ou des collectivités locales. Écartés des schémas culturels institutionnels publics et privés, ces projets n’ont pas su non plus se structurer collectivement pour faire entendre leur voix et témoigner de leur intérêt, de leur nécessité. C’est donc d’une situation paradoxale qu’il nous faut partir pour relier la situation actuelle à un faisceau d’indices historiques indispensables à la compréhension du mouvement. »

Lisez l’intégralité du rapport ICI !

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LA PREUVE PAR 7

contact@lapreuvepar7.fr 

27, passage Courtois, Paris 11ème

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