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Il n’y a pas de monde commun, il faut le composer

Il n’y a pas de monde commun, il faut le composer

Il n’y a pas de monde commun, il faut le composer – Bruno Latour

2011

Dans cet extrait de son Manifeste compositionniste, Bruno Latour nous invite à penser qu’il n’y a jamais eu de monde commun donné, mais qu’il importe de le composer, et de s’inspirer des pratiques artistiques pour expérimenter ce travail de composition.

Consulter son article ICI !

Il n’y a pas de monde commun, il faut le composer

Le genre vernaculaire ou la nostalgie de la tradition, à propos d’Ivan Illich

Le genre vernaculaire ou la nostalgie de la tradition, à propos d’Ivan Illich – Sylvie Kwaschin

1991

« Le Genre Vernaculaire [d’Ivan Illich] retrace le passage des économies de subsistance à une économie de marché ou comme passage d’une monde « genrée » à un monde « hors-genre » sexiste. »

Sylvie Kwaschin propose ici une critique de ce texte : « La première réflexion à laquelle je fus conviée à propos du Genre vernaculaire d’Ivan Illich concernait les liens entre sa critique du modèle industriel de développement des sociétés modernes et son évaluation des revendications et réflexions du «mouvement féministe». […] je pense que le texte d’Illich hésite entre philosophie politique et ontologie, entre évaluation (qui ne peut éviter le jugement en terme de «souhaitable» et non de «vérité») d’un mode d’organisation social de la production et des rapports entre les gens et définition «en vérité» des catégories du masculin et du féminin. Quelle position adopter par rapport à ce pôle ontologique lorsqu’on n’y adhère pas et que l’on ne veut pas déplacer la discussion vers cet implicite du texte? ».

Il n’y a pas de monde commun, il faut le composer

La Permanence Architecturale

La Permanence Architecturale

Octobre 2015

« Les pages qui suivent retracent la journée du 16 octobre 2015. Ce jour-là, au Point Ha^t, lieu de création urbaine à Saint-Pierre-des-Corps, une centaine de personnes se sont retrouvées pour échanger sur ce qu’elles nomment elles-mêmes des expériences de «permanences architecturales ». Une notion quelque peu floue, ouverte, mais indubitablement associée à une forme de pratique : celle des membres de l’agence Construire, portée par Patrick Bouchain et Loïc Julienne. […] On ne trouvera pas ici de méthode toute faite, de boîte à outils prête à l’emploi, de protocole scientifique de recherche-action. Ni même une définition précise et arrêtée de cette fameuse «permanence architecturale ». Tenter de la définir risquerait à coup sûr de la réduire, de l’uniformiser, de la contenir dans des cadres qu’elle tente constamment de faire exploser. Non, ici, c’est une réunion de famille qui se tient. »

Retrouvez ici les Actes de la Permanence Architecturale complets.

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27, passage Courtois, Paris 11ème

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